Au hasard de mon butinage sur le blog de YAG, je découvre ce billet parlant de la conférence TED qui se tient en Californie depuis plus de 10 ans sans tambour ni trompette.
C'est une sorte de Davos teinté de technologie, où les découvreurs du monde entier échangent leurs vision du monde éclairée par la technologie et ses développements futurs.
Cette vidéo montrant l'évolution du PIB, de l'espérance de vie, de la mortalité infantile et la taille des familles dans de nombreux pays du monde est édifiante, notamment par les avancées qu'un accès rapide et intuitif à l'information peut procurer.
lundi 12 mars 2007
jeudi 1 mars 2007
Les PME Innovantes sont enfin représentées !
En lisant un remarquable article de Nicolas Piaton dans le 01-DSI de février-mars 2007, je découvre une initiative émanant d'un "quarteron" de PME innovantes qui voient leur avenir non dans les experts et autres dispositifs d'assistance dispensés généreusement par l'Etat, mais dans le développement commercial de leur affaire, notamment par l'abolition des discrimination objectives dont souffrent les PME face aux grands comptes, au premier rang desquels l'Etat lui-même : trop petites, trop jeunes, trop risquées, trop originales (le fameux syndrome du NIH , Not Invented Here), etc.
Ces PME innovantes, qui ont eu la gentillesse d'accueillir AbaqueInside dans leur groupe fondateur, agissent concrètement auprès des Institutionnels (ministères, associations d'anciens élèves, grands comptes, etc.) pour que l'innovation soit considérée moins comme un dossier administratif - avec tout mon respect pour la fonction publique dont j'ai eu le plaisir d'étudier les subtilités dans la section Service Public de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris - que comme une aventure humaine, écrite par des hommes et des femmes de chair et d'os, avec leurs espoirs, leurs convictions, leurs erreurs et, au bout d'une route souvent longue, solitaire et très éloignée des voies toutes tracées de l'innovation programmée, un succès bien aléatoire.
Entendons-nous, ce succès est d'abord le plaisir d'avoir pu faire aboutir une idée au départ saugrenue, d'avoir tenu bon malgré les innombrables Cassandre y compris dans leur entourage propre, en sacrifiant parfois et bien malgré eux argent, statut et au passage quelques amis.
La première réalisation concrète est le site PME-Innovantes, où IntuiCat aidera bientôt les visiteurs à cibler précisément les entreprises mettant l'innovation à leur disposition.
Avec ma société je vais soutenir activement cette initiative, une entreprise de plus, nous verrons bien où elle nous mène, loin j'en suis sûr...
Pour la soutenir aussi, en copiant-collant ce code HTML sur votre site ou blog
vous obtiendrez
Ces PME innovantes, qui ont eu la gentillesse d'accueillir AbaqueInside dans leur groupe fondateur, agissent concrètement auprès des Institutionnels (ministères, associations d'anciens élèves, grands comptes, etc.) pour que l'innovation soit considérée moins comme un dossier administratif - avec tout mon respect pour la fonction publique dont j'ai eu le plaisir d'étudier les subtilités dans la section Service Public de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris - que comme une aventure humaine, écrite par des hommes et des femmes de chair et d'os, avec leurs espoirs, leurs convictions, leurs erreurs et, au bout d'une route souvent longue, solitaire et très éloignée des voies toutes tracées de l'innovation programmée, un succès bien aléatoire.
Entendons-nous, ce succès est d'abord le plaisir d'avoir pu faire aboutir une idée au départ saugrenue, d'avoir tenu bon malgré les innombrables Cassandre y compris dans leur entourage propre, en sacrifiant parfois et bien malgré eux argent, statut et au passage quelques amis.
La première réalisation concrète est le site PME-Innovantes, où IntuiCat aidera bientôt les visiteurs à cibler précisément les entreprises mettant l'innovation à leur disposition.
Avec ma société je vais soutenir activement cette initiative, une entreprise de plus, nous verrons bien où elle nous mène, loin j'en suis sûr...
Pour la soutenir aussi, en copiant-collant ce code HTML sur votre site ou blog
<a href="http://www.pme-innovantes.fr/" target="_blank"> <img src="http://www.pme-innovantes.fr/logo/logopme.gif" border="0" align="middle">
</a>vous obtiendrez
lundi 26 février 2007
Chapeau au Rugby français
Comme beaucoup d'amateurs de rugby, j'ai savouré le France-Galles de samedi soir où l'équipe de France a montré une maîtrise quasi parfaite de tous les secteurs du jeu :
Merci aussi aux jeunes comme Traille, Harinordoqui, Michalak, Yachvili, Brusque, Poitrenaud, ... qui ont permis le brassage et le renouvellement dans le respect des plus anciens comme Ibañez, Dominici, Betsen et Pellous qu'il me tarde de revoir dans notre quinze national.
En ces temps d'Élection Présidentielle, je me demande si nos joueurs, qui savent si bien mêler engagement, loyauté, cohésion, humilité et performance individuelle, ne pourraient pas aider nos politiques, au moins par leur exemple, à tracer la voie de l'avenir pour notre Pays.
- une mêlée magique, particulièrement son talonneur Paco Ibañez qui à lui seul a fait gagner plusieurs dizaines de mètres à son équipe, incontestablement l'homme du match (contrairement à l'avis des téléspectateurs focalisés sur le buteur, certes excellent, David Skrela)
- des ailiers explosifs dans la grande tradition du french flair et un coup de chapeau à Me Dominici qui du haut de ses 34 ans et son mètre 70 a bien tourmenté la défense galloise
- des prises de ballon en touche remarquables
- un jeu au pied éclairé
- un demi de mêlée rapide et précis comme le fut si souvent Fabien Galthié
- un respect scrupuleux des règles et de la loyauté (très peu de pénalités)
Merci aussi aux jeunes comme Traille, Harinordoqui, Michalak, Yachvili, Brusque, Poitrenaud, ... qui ont permis le brassage et le renouvellement dans le respect des plus anciens comme Ibañez, Dominici, Betsen et Pellous qu'il me tarde de revoir dans notre quinze national.
En ces temps d'Élection Présidentielle, je me demande si nos joueurs, qui savent si bien mêler engagement, loyauté, cohésion, humilité et performance individuelle, ne pourraient pas aider nos politiques, au moins par leur exemple, à tracer la voie de l'avenir pour notre Pays.
dimanche 5 novembre 2006
IntuiCat sur le Billaut show
Merci à Jean-Michel Billaut pour son accueil sur le Billaut show
Les démonstrations présentées pendant l'entretien:
Ordinateurs portables
Vols aériens
Pièces de rechange automobiles
Les démonstrations présentées pendant l'entretien:
Ordinateurs portables
Vols aériens
Pièces de rechange automobiles
jeudi 19 octobre 2006
Innovact 2006 - Reims
Retour hier à ma ville natale pour un événement dans la lignée des Capital-IT, Innovate-Europe, etc. : Innovact, organisé par la CCI de Reims-Epernay.
Saluons au passage l'engagement de cette CCI qui, loin d'être anesthésiée par l'excellente santé de l'agriculture locale (champagne et céréales), mouille la maillot pour organiser une manifestation en tous points remarquable : nombre et qualité des exposants et des intervenants, débats au milieu des stands, excellente ambiance communicative.
J'aimerais (modestement) mentionner trois produits et entreprises qui m'ont semblé promis à un grand avenir :
Innovact, un nouveau lieu où naît l'économie de demain !
Saluons au passage l'engagement de cette CCI qui, loin d'être anesthésiée par l'excellente santé de l'agriculture locale (champagne et céréales), mouille la maillot pour organiser une manifestation en tous points remarquable : nombre et qualité des exposants et des intervenants, débats au milieu des stands, excellente ambiance communicative.
J'aimerais (modestement) mentionner trois produits et entreprises qui m'ont semblé promis à un grand avenir :
- Nout et son ERP paramétrable "SIMAX"
- Quividi et son logiciel de reconnaissance de formes video
- Ipex et son service de voix sur IP
Innovact, un nouveau lieu où naît l'économie de demain !
vendredi 2 juin 2006
Forum Innovation et Compétences (92)
Hier matin je reprends contact avec la CCIP pour leur demander une assistance sur les procédures ANVAR.
Réponse quasi immédiate: rejoignez nous cet après-midi au Après un tour sur Oseo qui regroupe désormais l'ANVAR et la BDPME, constaté que cette noble institution était représentée au Forum, et remarqué le cocktail en fin de manifestation, j'enfourche mon vélo vers 14h30 pour m'y rendre.
Acceuil par les vélos ne sont pas acceptés dans l'enceinte de l'immeuble. Le contraire m'eut étonné, heureusement j'ai double antivol et je trouve une zone adaptée non loin de l'entrée.
Début des débats à 15h30, discours du vice-président du CG 92 dont l'alzheimer paraît bien avancé. Discours de l'élu CCIP, no comment, puis débat entre le DG de la CCIP, ex-préfet, un représentant du ministère de l'économie finlandais, deux entrepreneurs passés sous les fourches caudines des pôles de compétitivité.
En gros, innover c'est tout facile, il suffit de travailler tous ensemble, et tout se passe dans le meilleur des mondes.
Ne sachant si l'endormissement ou la colère aurait raison de moi en premier, je dévisse pour me rendre sur le stand OSEO, but réel de ma visite (en assistant un peu aux débats, j'aurai au moins honoré l'invitation de la CCIP).
Une charmante jeune fille m'accueille, à qui je présente mon projet. Elle me fait comprendre que malgré leur fusion récente la BDPME et l'ANVAR restent deux entités bien distinctes au sein d'OSEO et qu'elle même représente la BDPME. Visiblement novice, elle cède la place à son délégué régional qui m'explique que la BDPME intervient en garantie d'un prêt bancaire "conventionnel", lequel est accordé au vu des derniers bilans.
Je lui suggère qu'une entreprise ne peut avoir des bilans fabuleux tout en consacrant une grande partie de ses ressources financières, psychologiques et intellectuelles à innover. S'il connaît des entreprises qui produisent le jour, facturent le soir et innovent la nuit, qu'il me les présente !
Il en convient et nous concluons que les choses sont ainsi, donc soit ! Je vais tout de même présenter un demande de prêt à ma banque, on ne sait jamais ... et au moins j'aurai essayé.
Je tourne un moment autour du stand OSEO-ANVAR, dont le responsable est en grande conversation avec un autre exposant et ne semble pas prêter grande attention à ma présence. Ayant épuisé la presse mise à disposition, j'interrompt pour me présenter ; il me reçoit rapidement.
Rebelotte sur le projet et question sur la portée réelle du label "entreprise innovante" de l'ANVAR.
En gros l'entreprise doit "démontrer" (sic) son caractère innovant par le nombre d'ingénieurs, d'heures, de brevets, etc. qu'elle consacre ou va consacrer à l'innovation. Le tout dans un gros dossier avec un chèque de 2.200 euros pour son examen. Les chances d'obtention sont d'autant plus grandes que l'entreprise est connu des circuits ANVAR, en gros qu'elle a financé sa recherche sur fonds publics depuis l'origine.
Il convient que mes chances sont très minces voire nulles. Je lui indique que le contraire m'eût étonné.
Très content d'être venu, ça m'a épargné de heures de paparasserie inutile, et 2.200 euros.
Arrive enfin le couronnement de la journée, le cocktail, j'y rencontre deux personnalités peu communes
Mr. Peter Flemming, qui conçoit et distribue les accessoires de golf du même nom. Ca m'a fait tout drôle, comme si je rencontrais Jack Nicklaus ou Ben Hogan. Il fait aussi des super pompes de ville (concurrentes de Bowen) qu'il vend directement au public au siège de sa société 4 bd Pershing 75017
M. Sadi Allag, jusqu'en 93 Directeur Marketing de Valeo Service, client important de ma société. Nous nous sommes croisés plusieurs fois sans nous rencontrer (en Algérie, chez Valeo, etc.) et cette fois c'est fait. Il me promet un avis de super expert sur IntuiCat. J'espère que ses désirs radiculaires seront comblés (blague privée).
Réponse quasi immédiate: rejoignez nous cet après-midi au Après un tour sur Oseo qui regroupe désormais l'ANVAR et la BDPME, constaté que cette noble institution était représentée au Forum, et remarqué le cocktail en fin de manifestation, j'enfourche mon vélo vers 14h30 pour m'y rendre.
Acceuil par les vélos ne sont pas acceptés dans l'enceinte de l'immeuble. Le contraire m'eut étonné, heureusement j'ai double antivol et je trouve une zone adaptée non loin de l'entrée.
Début des débats à 15h30, discours du vice-président du CG 92 dont l'alzheimer paraît bien avancé. Discours de l'élu CCIP, no comment, puis débat entre le DG de la CCIP, ex-préfet, un représentant du ministère de l'économie finlandais, deux entrepreneurs passés sous les fourches caudines des pôles de compétitivité.
En gros, innover c'est tout facile, il suffit de travailler tous ensemble, et tout se passe dans le meilleur des mondes.
Ne sachant si l'endormissement ou la colère aurait raison de moi en premier, je dévisse pour me rendre sur le stand OSEO, but réel de ma visite (en assistant un peu aux débats, j'aurai au moins honoré l'invitation de la CCIP).
Une charmante jeune fille m'accueille, à qui je présente mon projet. Elle me fait comprendre que malgré leur fusion récente la BDPME et l'ANVAR restent deux entités bien distinctes au sein d'OSEO et qu'elle même représente la BDPME. Visiblement novice, elle cède la place à son délégué régional qui m'explique que la BDPME intervient en garantie d'un prêt bancaire "conventionnel", lequel est accordé au vu des derniers bilans.
Je lui suggère qu'une entreprise ne peut avoir des bilans fabuleux tout en consacrant une grande partie de ses ressources financières, psychologiques et intellectuelles à innover. S'il connaît des entreprises qui produisent le jour, facturent le soir et innovent la nuit, qu'il me les présente !
Il en convient et nous concluons que les choses sont ainsi, donc soit ! Je vais tout de même présenter un demande de prêt à ma banque, on ne sait jamais ... et au moins j'aurai essayé.
Je tourne un moment autour du stand OSEO-ANVAR, dont le responsable est en grande conversation avec un autre exposant et ne semble pas prêter grande attention à ma présence. Ayant épuisé la presse mise à disposition, j'interrompt pour me présenter ; il me reçoit rapidement.
Rebelotte sur le projet et question sur la portée réelle du label "entreprise innovante" de l'ANVAR.
En gros l'entreprise doit "démontrer" (sic) son caractère innovant par le nombre d'ingénieurs, d'heures, de brevets, etc. qu'elle consacre ou va consacrer à l'innovation. Le tout dans un gros dossier avec un chèque de 2.200 euros pour son examen. Les chances d'obtention sont d'autant plus grandes que l'entreprise est connu des circuits ANVAR, en gros qu'elle a financé sa recherche sur fonds publics depuis l'origine.
Il convient que mes chances sont très minces voire nulles. Je lui indique que le contraire m'eût étonné.
Très content d'être venu, ça m'a épargné de heures de paparasserie inutile, et 2.200 euros.
Arrive enfin le couronnement de la journée, le cocktail, j'y rencontre deux personnalités peu communes
Mr. Peter Flemming, qui conçoit et distribue les accessoires de golf du même nom. Ca m'a fait tout drôle, comme si je rencontrais Jack Nicklaus ou Ben Hogan. Il fait aussi des super pompes de ville (concurrentes de Bowen) qu'il vend directement au public au siège de sa société 4 bd Pershing 75017
M. Sadi Allag, jusqu'en 93 Directeur Marketing de Valeo Service, client important de ma société. Nous nous sommes croisés plusieurs fois sans nous rencontrer (en Algérie, chez Valeo, etc.) et cette fois c'est fait. Il me promet un avis de super expert sur IntuiCat. J'espère que ses désirs radiculaires seront comblés (blague privée).
vendredi 26 mai 2006
Innovate!Europe
Les 15-17 mai derniers, Innovate!Europe a mis en relation les entrepreneurs et les investisseurs européens.
Ces trois jours nous ont permis de soulever un coin du voile sur la communauté Web 2.0 mondiale, et de rencontrer des personnalités comme Gil Penchina (eBay), Mike Arrington (TechCrunch), Niklas Zennström (Skype) et bien sûr notre incontournable porte drapeau national, Loïc Le Meur (Six Apart).
J'ai vu deux grandes tendances se dessiner:
- La vague de fond du Web 2.0 : les réseaux sociétaux (social networking) partageant du contenu (blog, wiki, photos, video), des avis (notation de produits sur les sites de commerce électronique), le tout sur ordinateur ou téléphone mobile.
- La recherche verticale : au lieu de chercher dans tout ce qui est disponible sur la toile, le client choisit d'abord un secteur d'activité (automobile, médical, etc.) puis accède à deux modes de recherche: par mots clés et/ou par critères (les critères sont applicables dès lors que la recherche se situe dans un seul domaine d'activité). La recherche verticale permet de cibler plus finement les publicités.
En tous cas il est parfaitement clair que tout le web de demain sera financé par la publicité, qui s'intégrera de plus en plus finement et granulaire à nos recherches d'informations.
Ces trois jours nous ont permis de soulever un coin du voile sur la communauté Web 2.0 mondiale, et de rencontrer des personnalités comme Gil Penchina (eBay), Mike Arrington (TechCrunch), Niklas Zennström (Skype) et bien sûr notre incontournable porte drapeau national, Loïc Le Meur (Six Apart).
J'ai vu deux grandes tendances se dessiner:
- La vague de fond du Web 2.0 : les réseaux sociétaux (social networking) partageant du contenu (blog, wiki, photos, video), des avis (notation de produits sur les sites de commerce électronique), le tout sur ordinateur ou téléphone mobile.
- La recherche verticale : au lieu de chercher dans tout ce qui est disponible sur la toile, le client choisit d'abord un secteur d'activité (automobile, médical, etc.) puis accède à deux modes de recherche: par mots clés et/ou par critères (les critères sont applicables dès lors que la recherche se situe dans un seul domaine d'activité). La recherche verticale permet de cibler plus finement les publicités.
En tous cas il est parfaitement clair que tout le web de demain sera financé par la publicité, qui s'intégrera de plus en plus finement et granulaire à nos recherches d'informations.
mercredi 3 mai 2006
Visual FoxPro continue sa fulgurante progression dans l'index Tiobe !
Tiobe a eu l'excellente idée d'établir un classement de la popularité des langages de programmation d'après leur présence sur les moteurs de recherche principaux, au premier rang desquels Google. Mis à jour mensuellement, cet "index" donne une bonne idée de l'activité sur un langage, au delà des chiffres d'utilisateurs et de licence fournis par les éditeurs.
Bien entendu, nul ne saurait contester l'écrasant suprématie de Java, C, C++ et PHP. Même Visual Basic fait de la résistance à la cinquième place.
Toutefois, depuis plusieurs mois, Visual FoxPro fait une percée spectulaire, d'ailleurs mentionnée dans plusieurs éditoriaux du site. Après avoir longtemps stagné dans les oubliettes, considéré comme un langage "has-been", il est remonté aujourd'hui à 13è place et continue sa progression mois après mois.
Cette progression couronne les efforts de la communauté francophone AtoutFox née en 2004, que j'ai eu l'honneur de présider pendant sa première année d'existence, et dont le premier objectif était précisément la promotion du langage et des applications qui en sont issues.
Visual FoxPro est un langage remarquable, extraordinairement rapide pour accéder à des tables ou construire des chaines de caractères. Il permet de bâtir des applications de gestion client-serveur professionnelles, en frontal de n'importe quelle base de données SQL. Les applications plus modestes peuvent tourner avec le moteur de base de données intégré, dont la redistribution est gratuite, et qui a tout d'un grand sur le plan fonctionnel, sauf la réplication et la sauvegarde à chaud.
Semi-compilé, le langage Visual FoxPro est extrèmement souple, permettant de construire dynamiquement des instructions ou des programmes entiers. Orienté objet, ses 30 classes de base supportent l'héritage, l'encapsulation et le polymorphisme pour une réutilisation optimale du code.
Continuellement amélioré depuis 1990, actuellement à sa version 9, Visual FoxPro est d'une stabilité sans faille, son atelier de développement est conforme aux standards du marché, son langage très facile à apprendre pour tout développeur familier avec la technologie objet.
Bref, vous l'avez compris, je suis un ardent supporter de Visual FoxPro!
Bien entendu, nul ne saurait contester l'écrasant suprématie de Java, C, C++ et PHP. Même Visual Basic fait de la résistance à la cinquième place.
Toutefois, depuis plusieurs mois, Visual FoxPro fait une percée spectulaire, d'ailleurs mentionnée dans plusieurs éditoriaux du site. Après avoir longtemps stagné dans les oubliettes, considéré comme un langage "has-been", il est remonté aujourd'hui à 13è place et continue sa progression mois après mois.Cette progression couronne les efforts de la communauté francophone AtoutFox née en 2004, que j'ai eu l'honneur de présider pendant sa première année d'existence, et dont le premier objectif était précisément la promotion du langage et des applications qui en sont issues.Visual FoxPro est un langage remarquable, extraordinairement rapide pour accéder à des tables ou construire des chaines de caractères. Il permet de bâtir des applications de gestion client-serveur professionnelles, en frontal de n'importe quelle base de données SQL. Les applications plus modestes peuvent tourner avec le moteur de base de données intégré, dont la redistribution est gratuite, et qui a tout d'un grand sur le plan fonctionnel, sauf la réplication et la sauvegarde à chaud.
Semi-compilé, le langage Visual FoxPro est extrèmement souple, permettant de construire dynamiquement des instructions ou des programmes entiers. Orienté objet, ses 30 classes de base supportent l'héritage, l'encapsulation et le polymorphisme pour une réutilisation optimale du code.
Continuellement amélioré depuis 1990, actuellement à sa version 9, Visual FoxPro est d'une stabilité sans faille, son atelier de développement est conforme aux standards du marché, son langage très facile à apprendre pour tout développeur familier avec la technologie objet.
Bref, vous l'avez compris, je suis un ardent supporter de Visual FoxPro!
samedi 29 avril 2006
Dîner CGS cool
Hier soir je participai au 4è dîner organisé par Clavier, Goldberg et Sepùlveda qui agitent (dans le bon sens du terme) et fédèrent la communauté renaissante des Web Entrepreneurs Français.
Malgré la diversité d'âges et da parcours, j'ai été frappé par la grande fluidité des échanges, et la préoccupation commune pour la marginalité où l'Entrepreneur est si souvent confiné en France: négrier assoifé de profit, as de la fraude fiscale, dont les idées sont le plus souvent inutiles voire bidon, et si elles sont intéressantes on n'a qu'à les copier tranquillement, etc.
Un exemple parmi tant d'autres ...
Hier je reçois l'appel d'un consultant qui se fait fort de décrocher des subventions à l'innovation. En fait me dit-il, "nous entamons notre démarche par un dossier de Crédit d'Impôt Recherche (CIR)".
Pourquoi pas lui dis-je, ça ou autre chose, " du moment que vous faites la paperasse ..."
Il me pose une série de questions, dont "combien de salariés participent à votre R&D ?".
Je lui dis qu'en général les innovateurs ne sont pas salariés, il se paient tant bien que mal, sur les maigres contrats qu'ils arrivent à décrocher en dehors de leurs développement.
"Ah bien c'est gênant car le CIR ne prend en compte que les salaires..."
Fin de conversation sur le mode "Si l'Etat veut donner des avantages fiscaux à l'Oréal ou Total, c'est son problème, mais alors qu'il ne vienne pas se plaindre que ses entrepreneurs (donc ses entreprises et ses emplois de demain) foutent le camp à l'étranger!"
Un poil énervé l'Entrepreneur ... alors que le malheureux consultant n'y était strictement pour rien !
Ne parlons pas de ces étudiants anti-CPE qui dépeignaient les entrepreneurs comme des tyrans assoifés de profit en euros ou en dollars, l'argent n'ayant visiblement aucune odeur à leurs narines.
En conclusion, j'invite tous les participants au dîner CGS à réfléchir à la constitution d'une communauté, d'une association (peu importe la forme), dont l'objet serait de (pro)mouvoir l'image de l'Entrepreneur auprès des principaux relais d'opinion et, à travers eux, les autorités de l'Etat.
Malgré la diversité d'âges et da parcours, j'ai été frappé par la grande fluidité des échanges, et la préoccupation commune pour la marginalité où l'Entrepreneur est si souvent confiné en France: négrier assoifé de profit, as de la fraude fiscale, dont les idées sont le plus souvent inutiles voire bidon, et si elles sont intéressantes on n'a qu'à les copier tranquillement, etc.
Un exemple parmi tant d'autres ...
Hier je reçois l'appel d'un consultant qui se fait fort de décrocher des subventions à l'innovation. En fait me dit-il, "nous entamons notre démarche par un dossier de Crédit d'Impôt Recherche (CIR)".
Pourquoi pas lui dis-je, ça ou autre chose, " du moment que vous faites la paperasse ..."
Il me pose une série de questions, dont "combien de salariés participent à votre R&D ?".
Je lui dis qu'en général les innovateurs ne sont pas salariés, il se paient tant bien que mal, sur les maigres contrats qu'ils arrivent à décrocher en dehors de leurs développement.
"Ah bien c'est gênant car le CIR ne prend en compte que les salaires..."
Fin de conversation sur le mode "Si l'Etat veut donner des avantages fiscaux à l'Oréal ou Total, c'est son problème, mais alors qu'il ne vienne pas se plaindre que ses entrepreneurs (donc ses entreprises et ses emplois de demain) foutent le camp à l'étranger!"
Un poil énervé l'Entrepreneur ... alors que le malheureux consultant n'y était strictement pour rien !
Ne parlons pas de ces étudiants anti-CPE qui dépeignaient les entrepreneurs comme des tyrans assoifés de profit en euros ou en dollars, l'argent n'ayant visiblement aucune odeur à leurs narines.
En conclusion, j'invite tous les participants au dîner CGS à réfléchir à la constitution d'une communauté, d'une association (peu importe la forme), dont l'objet serait de (pro)mouvoir l'image de l'Entrepreneur auprès des principaux relais d'opinion et, à travers eux, les autorités de l'Etat.
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